Une vie à contretemps, ça raconte quoi ?
Le premier livre de ma nouvelle vie. Une vie à contretemps, qui débute par une nuit glaciale de janvier 1990. Comme je vous l’ai déjà dit, le point de départ de cette histoire, c’est un souvenir qui ne m’appartient pas. Pourtant, je l’ai écrit à la première personne, me glissant dans les godasses de Didier, qui n’est pas nommé une seule fois du roman, puisque c’est lui qui raconte. Mais c’est bien lui que l’on retrouve au volant de sa vieille 4 L, bourré comme un coing, qui trace au plus vite pour rentrer chez lui quand il les voit, sur le bord de la route. Deux brelets, grelottant de froid et tirant une de ces chariotes qu’utilisaient nos mères pour faire leurs courses. Sauf qu’à la place du panier en tissu, il y a une boîte rectangulaire en bois, sanglée à la va-comme-je-te-pousse. Tu parles s’il s’arrête ! Il a un cœur gros comme un ballon dirigeable, mon Didier. Ils lui font de la peine, ces petits bézots, à vouloir enterrer leur petit chat mort dans une terre bien trop dure pour être creusée de leurs petites mimines. Alors, il les fait monter à bord de sa tire et il les emmène à son garage. Oui, parce qu’il est mécano, Didier, et qu’il le sera pour la vie. Et parce que la DDE a rebouché une tranchée au matin. Idéal pour l’enterrement d’un chat, se dit-il… Bon, la cérémonie est tout de même bizarre, avec ces mouflets qui multiplient les hésitations, les prières et les pleurs, ce qui semble tout de même bien exagéré pour un chat, mais l’ami Didier n’est pas en état de se poser des questions. Sauf que, trente ans plus tard, on creuse devant chez lui pour refaire des canalisations. Et voilà que lui revient en pleine poire l’histoire de cette boîte. Et si, à l’intérieur, il y avait autre chose que ce qu’il a cru sur le moment ?...
Fiche technique
Une vie à contretemps
Autoédité à la demande
Dépôt légal : 21 janvier 2025
Nombre de pages de la version papier : 216 p.
ISBN : 978-2-9597362-0-9
Dimensions : 148 x 210 x 13 mm
Pour une version papier, merci de m’envoyer un mail. Je vous y explique la manière de procéder.
Les réactions
L’avantage, lorsqu’on s’autoédite, c’est que vous connaissez tous les lecteurs qui vous ont fait confiance et ont accepté de lire votre prose, mais aussi et surtout de vous adresser leurs ressentis. C’était important pour moi. Est-ce que j’étais légitime à vouloir reprendre la plume après autant d’années d’abstinence ?
— Agnès de G. : « Des trois premiers, la Vie à contretemps est mon préféré ! »
— Sophie Le M. : « J’ai achevé la lecture de la Vie à contretemps et apprécié la Mamou, si attachante. C’est vrai que le contenu de la boîte n’a aucune importance, et pourtant j’étais curieuse. Tu as l’imagination et la plume alertes ! »
— François R. : « J’ai adoré ! J’ai encore le goût du malt dans la bouche et le bourdonnement du Cléon de la 4 L dans les oreilles ! J’ai passé un pur moment de bonheur avec cette histoire ! »
— Evelyne L. : « Mais où vas-tu chercher tout ça ? L’écriture est agréable, ça coule tout seul. »
— Corinne G. : « Quelle plume ! Tout en finesse malgré les personnages brut de pomme. J’ai bien ri et j’ai dévoré ! Que dire d’autre que merci pour cet agréable moment de lecture. »
— Marie-Odile P. : « C’est d’un réalisme ! J’adore ! »
— Pierre-Emmanuel M. : « Merci de m’avoir redonné le goût de la lecture ! »
— Valérie D. : « Quel humour, j’ai trop rigolé ! Mais qu’y a-t-il donc dans cette boîte ? »
— Jean-Eric B. : « Je l’ai achevé en deux jours… Je suis tombé dedans, l’histoire, les personnages, j’ai souri, rit et quelques larmes ont même coulé. C’est plein d’amour et d’émotions. Bravo ! »
— Marie-Françoise D. : « Je l’ai avalé, il n’y a pas d’autre mot. Qu’est-ce que c’est chouette... »
— Jean-Luc O. : « Terminé ! J’ai vraiment un faible pour celui-ci, pour l’humour, pour l’intrigue et pour le bon moment de lecture qu’il m’a procuré ! »
— Jacques B. : « Lu en une journée ! Pas moyen de s’arrêter, je voulais savoir ce qu’il y avait dans cette p… de boîte ! »
— Daniel N. : « Et voilà, moi qui lis très peu, je me suis laissé embarqué. Je l’ai ouvert au petit-déjeuner, j’ai déjeuné en le lisant, j’ai oublié de faire la sieste et je l’ai terminé au goûter. J’y étais et ça m’a évoqué tellement de bons souvenirs… Merci. »
— Bruno R. : « Je viens de terminer La vie à contretemps. Je ne l'ai pas lu, je l'ai dévoré ! »

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