Compte à rebours

 

Tic-tac, tic-tac. L’horloge tourne. Plus que trois jours pour découvrir la suite des aventures de Madelaine et de Marcellin, cette mère et son fils, séparés après l’accouchement par un père, l’ignoble Auguste, persuadé que l’enfant est celui d’un autre. C’est le 1er septembre que La louve et la lionne paraît, orné d’un bandeau qui laisse deviner un lieu dans lequel se déroulera une partie de l’action et dont je vous parlerai en détail dans un prochain post. Ce deuxième tome de ma trilogie « Madelaine » joue une partition plus sombre, à plonger son héroïne dans la Babylone de l’époque, cette Londres qui, telle une ogresse affamée, attire dans ses filets la misère de toute l’Angleterre pour la jeter dans ses usines crachant le feu et les larmes et dans les taudis qui jouxtent les belles maisons de Mayfair. C’est là que s’est réfugié Auguste que Madelaine entend débusquer pour assumer une vengeance qui, seule, la tient encore debout, elle qui souffre mille tourments dans son corps et son âme brisés, persuadée que son fils est mort. Sans se douter qu’il est bien vivant, accroché aux jupes de la Fine et cheminant dans les pas du Noiraud, dans ces Hautes-Alpes qui le voient grandir et découvrir le monde de ses grands yeux verts. Un monde peuplé de dangers dont il ignore encore tout, mais qui ne vont pas tarder à frapper à la porte des Bernards, ce petit hameau de rien dans lequel il vit… Trois jours encore à attendre pour en savoir plus avec, pour seul indice, cette couverture que vous découvrez en avant-première. Si j’étais vous, pour gagner du temps, je réserverais déjà un exemplaire en m’envoyant un mail. Je vous l’expédierais ainsi dès le 1er septembre ! Je dis ça, je ne dis rien !